2123, la Terre dévastée par le réchauffement climatique et les grandes épidémies est partagée en trois grandes zones. Au sein de l'Entente, humains et intelligences artificielles cohabitent selon le Code sous la surveillance des Gardiens.
À Londres, Amy, une jeune musicienne doit lutter pour préserver son emploi de professeure au conservatoire qui se trouve menacé par l'arrivée d'un humanoïde de dernière génération.
Sa rencontre avec James, un humain de caste inférieure va faire basculer sa vie.
 
Ordox questionne notre humanité, notre soif de liberté et d'amour dans un monde dans lequel les émotions  sont devenues un crime.
 
Imaginez une société dans laquelle la seule chose qui vous distingue des intelligences artificielles est la couleur d'un losange tatoué à votre poignet...
 
INTELLIGENCE ARTIFICIELLE
Évidemment un des mots clés de ce roman. Une espèce nouvelle à part entière dans Ordox, une espèce que nous côtoyons désormais quotidiennement, à tous les niveaux de la société. J’explore grâce à mes personnages la complexité et l’ambiguïté de ces rapports. 
CASTES
Dans le monde futur que j’ai imaginé dans Ordox, la société est organisée en castes. Visibles par un losange de couleur à l’intérieur du poignet.
À l’origine crées par le gouvernement inter-espèces pour différencier Humains et Intelligences Artificielles, elles seront évidemment un moyen facile pour les dirigeants de contrôler la population.
AMOUR
Et oui… On ne se refait pas ;)
Parce qu’aimer est un moteur et la meilleure raison de se battre. 
ARTS
Les arts sont au centre de nos vies, sous tellement de formes différentes. Vecteurs d’émotions, d’idées, il me paraissait essentiel de les utiliser dans ce roman. Ils sont un rempart infranchissable, une digue solide contre la barbarie.
ESPOIR
Ordox n’est pas un roman SF noir… Au-delà de peindre des dérives possibles, j’ai choisi de garder l’espoir. Mais un espoir lucide.
Certains humains résistent, se réorganisent. Nous montrent un autre futur possible… collectivement. À nous de nous en saisir.